La première affaire oppose dix (10) syndicalistes membres du SLEECG à Alhassane Bérété, proviseur du lycée Bonfi alors que le second concerne Elhadj Abdoulaye Portos Diallo et Amara Mansa Doumbouya, poursuivis pour provocation de façon directe à un attroupement non armé par discours et paroles.
Poursuivis pour menaces, violences, coups et blessures volontaires, neuf enseignants dans le premier groupe ont été relaxés pour faits non établis. Thierno Amadou Baldé, quant à lui, écope de trois mois de prison avec sursis pour avoir proféré des menaces à l’encontre du proviseur, Alhassane Bérété.
Pour ce qui est du dossier Elhadj Abdoulaye Portos Diallo et Amara Mansa Doumbouya, poursuivis pour provocation de façon directe à un attroupement non armé par discours et paroles après leur arrestation à l’issue d’une rencontre avec des représentants du gouvernement, ont été libérés pour délit non constitué.
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